Axelle FANYO Soprano
  • Anaclase, Bertrand Bolognesi, Septembre 2022

    Le soprano Axelle Fanyo conjugue à l’autorité naturelle de la voix un chant d’une musicalité inouïe, la diction idéale et un charisme nécessaire, pour ainsi dire, voire impératif. Grâce à une technique parfaitement maîtrisée qu’elle met habilement au service du sensible, la jeune artiste magnifie le poème jusqu’en une joie communicative.

  • Forum Opéra, Clément Taillia, Septembre 2022

    L’écrin est parfait pour Axelle Fanyo, qui apporte à ses interventions sa connaissance du répertoire français et les teintes claires de sa voix.

  • ResMusica, Patrice Imbaud, Septembre 2022

    (...) mais surtout à une soprano dans le rôle de l’élue, magistralement interprété par Axelle Fanyo dont on admire tout à la fois le timbre cristallin et l’excellente diction, portée par le lyrisme de l’orchestre (cordes) et une orchestration opulente (vents).

  • Olyrix, José Pons, Septembre 2022

    Axelle Fanyo s’empare de l'Élue avec une conviction totale, laissant se développer sa voix de soprano dans tout l’ambitus souhaité, conférant à son chant toute une trame poétique au charme prenant. La qualité du son est privilégiée tout comme la prononciation de fait très exacte. L’aigu peut se parer de splendides éclaircies mesurées tout comme rayonner dans la grande salle Pierre Boulez.

  • Olyrix, Gilles Charlassier, Février 2020

    Mais c'est sans doute la Leïla d'Axelle Fanyo qui se distingue par la rondeur généreuse d'un timbre riche d'harmoniques, et une saisissante faconde vocale. Sa grande scène offre à l'interne de médecine dans une clinique d'avortement une vibrante tribune en faveur de la justice sociale, et qui compte parmi les numéros les plus authentiquement lyrique de la partition.

  • Classique News, Jean-François Lattarico, Février 2020

    (...) la soprano Axelle Fanyo, incarnant une employée d'un centre de planning familial, conjugue la puissance vocale et la fougue de comédienne conforme à son personnage (...)

  • RFI Romania, Matei Visniec, Février 2020

    (...) Une voix magnifique, Axelle Fanyo (...)

  • io la gazette des festivals, Pierre Lesquelen, Février 2020

    Ce kaléidoscope emporte par la virtuosité de sa distribution vocale (en tête de laquelle on citera Axelle Fanyo (...)

  • -Forum Opéra, Maurice Salles, juin 2019

    Elle a été pour nous le choc de ce concours : la voix est dans le masque, sonore, charnue, opulente, l'élocution est ferme, le médium riche, les graves assurés et la réserve de puissance bien présente. Ajoutez un tempérament dramatique d'une versatilité très souple, comme instantanée, ce qui donne aux variations d'intensité et de couleurs des "Trois chansons de Bilitis" de Claude Debussy une impression de naturel illusoire qui ravit, aux deux sens du mot. On pense à Crespin la diseuse, on pense à Jessye Norman, on rêve déjà des délices que sa gourmandise pour le chant promet."

  • Berkshire fine arts, Susan Hall, janvier 2019

    "Fleming admires the beautiful big voice of Axelle Fanyo"

  • Seen and Heard International, Rick Perdian, janvier 2019

    "French soprano Axelle Fanyo has style and flare. Her lipstick was amazing, focusing all attention on her mouth as she sang the delightful, witty text by Cocteau that Poulenc set in "La Dame de Monte-Carlo". Her voice is just as spectacular, expressing the grandeur and outrage of a woman whose allures have run their course."

  • La Libre, Martine D. Mergeay, mai 2018

    "Axelle Fanyo est un genre (artistique) à elle seule, ça passe ou ça casse. Mais l'extraordinaire "Verlassen" de Schoenberg fera mieux que passer et "La Dame de Monte-Carlo" de Poulenc renouera avec ce qu'on peut bien appeler le génie -et l'humour ravageur- de cette artiste hors format"

  • Crescendo Magazine, Bernadette Beyne et Michelle Debra, mai 2018

    "La soprano française Axelle Fanyo fait le choix de l'outrance. Elle se permet d'imposer sa vision, profondément investie, d'autant que son bagage technique la libère de toute contrainte de cet ordre. Elle n'est pas dans la séduction mais elle est drôle, espiègle, et ses options se nourrissent sans doute aussi de sa formation de musicologue en Sorbonne. Elle surprend dans "Erlkönig" de Schubert où elle incarne les trois rôles de sa voix superbe. (...) elle est excellente dans l'expressionnisme Schoenbergien. Elle revient avec l'hyper-expressivité spontanée de "La Dame de Monte-Carlo" de Francis Poulenc. Axelle Fanyo ne laisse pas indifférent."

  • Opéra Magazine, Thierry Guyenne, Mars 2018

    "Dans la très parodique Donna Eleonora (...) Axelle Fanyo déploie les moirures de son instrument généreux, avec une somptuosité de timbre qui n'est pas sans évoquer la jeune Jessye Norman des années 1970"

  • Forum Opéra, Christophe Rizoud, 29 septembre 2016

    "(...) c'est Axelle Fanyo qui a créé la surprise, rappelant que l'Afrique est un formidable vivier de voix nouvelles"

  • La Voix du Nord, 3 février 2016

    Question voix, on a eu deux révélations (...) Axelle Fanyo, Elisabeth impériale, déjà wagnérienne, remarquée l'an dernier à Bayreuth."

  • Opéra Magazine, Jean-Marc Proust, mars 2016

    "(...) Axelle Fanyo, séduisante Elisabeth tant dans l'expression que dans la diction, avec un "Dich tuer Halle" parfaitement assuré et tenu"

  • La Lettre du musicien, Jacques Bonaire, 9 février 2016

    "Impressionante Axelle Fanyo en Elisabeth, n'éludant aucune des difficultés du rôle et offrant un "Dich tuer Halle..." plein d'élan et de santé"

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